1800-B, Autriche, Empereur François Ier. Belles pièces de cuivre 6 Kreuzer Mint Lieu: SUP! Année neuve : 1800 Référence : KM-2128. Mint Lieu : Kremnitz (B) Dénomination : 6 Kreuzer État : Dommages causés par la corrosion, sinon XF / XF ! Matériau : cuivre Poids : 12,91 g Diamètre : 32 mm François II, empereur du Saint-Empire (langue allemande : Franz II, Heiliger Römischer Kaiser) (Florence, 12 février 1768 – Vienne, 2 mars 1835) fut le dernier empereur du Saint-Empire au pouvoir. de 1792 jusqu'au 6 août 1806, date à laquelle il dissout l'Empire après la défaite désastreuse de la Troisième Coalition par Napoléon à la bataille d'Austerlitz. En 1804, il fonda l'Empire autrichien et devint François Ier d'Autriche (Franz I.), le premier empereur d'Autriche, régnant de 1804 à 1835. Il fut donc plus tard nommé le seul et unique Doppelkaiser (double empereur) de l'histoire. Pendant les deux années entre 1804 et 1806, François a utilisé le titre et le style par la grâce de Dieu, élu empereur romain, toujours Auguste, empereur héréditaire d'Autriche et il a été appelé empereur d'Allemagne et d'Autriche. François Ier a continué son rôle de premier plan en tant qu'opposant à la France napoléonienne dans les guerres napoléoniennes et a subi plusieurs autres défaites après Austerlitz. Le mariage d'État par procuration de sa fille Marie Louise d'Autriche avec Napoléon Ier, le 10 mars 1810, fut assurément son plus sévère. En tant que chef du grand empire multiethnique des Habsbourg, François se sentait menacé par l'appel de Napoléon à la liberté et à l'égalité en Europe. François avait une relation tendue avec la France. Sa tante Marie-Antoinette mourut sous la guillotine au début de son règne. Francis, dans l'ensemble, était indifférent à son sort (elle n'était pas proche de son père Léopold et Francis ne l'avait jamais rencontrée). Georges Danton tenta de négocier avec l'empereur la libération de Marie-Antoinette de captivité, mais François ne voulut faire aucune concession en retour. Plus tard, il mena l'Autriche dans les guerres de la Révolution française et fut vaincu par Napoléon. Par le traité de Campo Formio, il cède la rive gauche du Rhin à la France en échange de Venise et de la Dalmatie. Il combattit de nouveau contre la France au cours des deuxième et troisième coalitions. Après avoir subi une défaite écrasante à Austerlitz, il dut accepter le traité de Pressbourg, qui dissolvait effectivement le Saint-Empire romain germanique, affaiblissait l'Empire autrichien et réorganisait l'Allemagne actuelle sous un nouveau régime. Empreinte napoléonienne. En 1809, François attaque à nouveau la France, espérant profiter de la guerre d'Espagne qui embrouille Napoléon en Espagne. Il fut de nouveau vaincu, et cette fois contraint de s'allier à Napoléon, cédant du territoire à l'Empire, rejoignant le système continental et mariant sa fille Marie-Louise à l'empereur. François est devenu essentiellement un vassal de l'empereur des Français. Les guerres napoléoniennes affaiblirent considérablement l’Autriche et menacèrent sa prééminence parmi les États allemands, position qu’elle finirait par céder à la Prusse. En 1813, pour la quatrième et dernière fois, l’Autriche se retourne contre la France et rejoint la Grande-Bretagne, la Russie et la Prusse dans leur guerre contre Napoléon. L'Autriche a joué un rôle majeur dans la défaite finale de la France. C'est pourquoi François, représenté par Clemens von Metternich, a présidé le Congrès de Vienne, contribuant ainsi à former le Concert de l'Europe et la Sainte-Alliance, inaugurant une ère de conservatisme et réactionnisme en Europe. La Confédération allemande, une association lâche d'États d'Europe centrale, a été créée par le Congrès de Vienne en 1815 pour organiser les États survivants du Saint Empire romain germanique. Le Congrès fut un triomphe personnel pour François, où il accueillit le Congrès. divers dignitaires dans le confort, bien que François ait miné ses alliés, le tsar Alexandre et Frédéric-Guillaume III de Prusse, en négociant un traité secret avec le roi de France restauré Louis XVIII. La Diète fédérale s'est réunie à Francfort sous la présidence autrichienne (en fait, l'empereur des Habsbourg était représenté par un « envoyé présidentiel » autrichien).